mardi 6 décembre 2011

Pages de garde

Ces jours-ci, je ressens une très grande fatigue. Tout à l'heure j'ai fait une grosse sieste, je me suis endormi en très peu de temps, et j'ai eu du mal à me relever quand le réveil a sonné une demi-heure plus tard. Je me suis recouché en laissant la radio allumée sur de la musique de Schubert, et je me suis à nouveau relevé vingt ou trente minutes plus tard.

Malgré cette fatigue, j'ai aujourd'hui réussi à travailler, et c'est une bonne chose, car j'ai passé un week-end extraordinairement mou, où j'ai à peine fait quelques esquisses dans mon carnet footing. Même cette année, alors que je fais quelque-chose qui m'intéresse, et où la quantité de travail à fournir est très importante, je continue d'avoir une relation au travail qui évolue en zigzags, entre moment où je ne bosse presque pas et culpabilise, et moments où j'arrive à me donner à fond. Ma solution pour m'en sortir est de travaille VITE. Ça me convient très bien, car si j'essaie de faire un dessin léché qui prend des jours, je m'emmerde. J'aime le dessin un peu rapide.

Vivement les vacances, je pense que ça me fera du bien.

Ci-dessus, le sujet d'un prof qui nous a demandé de faire une double-page dans laquelle il fallait organiser ensemble le plus de dessins possible, autour des même thèmes que pour les portraits. Il y a un mot pour ce type de dessins nombreux rassemblés et organisés dans une page, mais je ne l'ai plus en tête. J'ai exécuté le sujet en pensant à des pages de garde, type Donjon ou Tintin.

Une autre fois, je vous montrerai mon petit chaperon rouge, ou bien mes pages pour les fanzine, ou bien… ou bien… ou bien…




jeudi 1 décembre 2011

Il était temps !


Bonjour !

On est déjà en décembre, et je n'ai toujours pas diffusé mes boulots de l'école sur internet. C'est faute d'avoir un scanner chez moi, et d'y penser, aussi.


Le sujet de ces trois dessins (le premier de l'année) était le portrait. Le protrait d'un enfant, "mâle ou femelle", d'un monstre ou bien d'un animal fantastique, et le portrait d'un prince.

Voici donc :



Mon Prince des Pirates.

(avec le recul, je me rends compte que son bras droit (celui avec le crochet) est dessiné hyper bizarrement. C'est parce que je n'ai pas réussi à bien rendre le raccourci du bras. J'en encore beaucoup de mal avec les raccourcis)




Mon Loup-Garou





Et mon enfant !


La contrainte du sujet était de travailler au crayon de couleur, ce qui m'a beaucoup plu.

Niveau critiques, on m'a dit que mon loup-garou aurait dû avoir les yeux plus éclatants, ce avec quoi je suis assez d'accord. On m'a aussi dit que l'enfant ci-dessus avait un air malade, ce que je n'avait pas prévu. Par contre, il a effectivement une expression tristounette.



Prochainement, des pages de gardes home made, une version série B du petit chaperon rouge, un paysage avec un lutin et un renard en avant-plan, et bien d'autres choses encore.

jeudi 27 octobre 2011

Note quelconque

Ce soir j'ai relu un tout petit peu mon ancien blog.
C'est marrant parce que, des fois, je tombe sur de vieilles notes où je me sens tout à fait en désaccord avec ce que j'avais écrit. C'est plutôt une bonne nouvelle, car il paraît qu'il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis.
Non mais, sérieusement, c'est plutôt bien de se rendre compte que nos pensées évoluent, qu'en fait on ne pense déjà plus de la même manière qu'il y a un an ou deux. C'est rassurant quelque-part.
Par exemple, j'exprimais parfois mon désir d'avoir une vie qui ne soit pas gratuite, (une vie qui ne serait pas absurde, "dépensée en l'air", inutile) mais au fond, la vie de la Terre elle-même est gratuite, face à l'immensité de l'univers et face à sa finitude. A partir de là, même Barack Obama et J.K Rowling mènent une vie gratuite, à un certain degré.
Et à propos de vie gratuite, j'aime énormément quand mon père m'écrit que je devrais essayer d'envisager la vie des humains comme celle des champignons : c'est bête, mais cette image me parle beaucoup.

Evidemment, on a tous envie de trouver un sens à sa vie, mais prendre du plaisir à vivre, c'est déjà ça, et ça peut être parfaitement gratuit. A titre "gratuit", je pourrais ainsi voyager, découvrir un minimum le monde, rencontrer des gens super, découvrir plein de trucs et produire un travail dont je serai fier. Quelque-part, tout ça serait assez gratuit, mais ce serait très satisfaisant, et je serai peut-être un petit peu moins scandalisé face à la mort en ayant préalablement rempli un minimum ma vie.

En attendant, je lis "Dans les forêts de Sibérie" de Sylvain Tesson, j'y découvre des expériences que je ne serai jamais capable d'affronter, mais qui me paraissent admirables et qui, quelque-part, me manquent.

Extraits choisis :

"La vie dans les bois permet de régler sa dette. Nous respirons, mangeons des fruits, cueillons des fleurs, nous baignons dans l'eau de la rivière et puis un jour, nous mourons sans payer l'addition à la planète. L'existence est une grivèlerie. L'idéal serait de traverser la vie tel le troll scandinave qui court la lande sans laisser de traces sur les bruyères. Il faudrait ériger le conseil de Baden-Powell en principe : "Lorsqu'on quitte un lieu de bivouac, prendre soin de laisser deux choses. Premièrement : rien. Deuxièmement : ses remerciements." L'essentiel ? Ne pas peser trop à la surface du globe. Enfermé dans son cube de rondins, l'ermite ne souille pas la Terre."

"La cabane, royaume de simplification. Sous le couvert des pins, la vie se déduit à des gestes vitaux. Le temps arraché aux corvées quotidiennes est occupé au repos, à la contemplation et aux menues jouissances. L'éventail de choses à accomplir est réduit. Lire, tirer de l'eau, couper le bois, écrire et verser le thé deviennent des liturgies. En ville, chaque acte se déroule au détriment de mille autres. La forêt resserre ce que la ville disperse."

"19 Février
C'est le soir, il est 9 heures, je suis devant la fenêtre. Une lune timide cherche une âme soeur mais le ciel est vide. Moi qui sautais au cou de chaque seconde pour faire rendre gorge et en extraire le suc, j'apprends la contemplation. Le meilleur moyen pour se convertir au calme monastique est de s'y trouver contraint. S'asseoir devant la fenêtre le thé à la main, laisser infuser les heures, offrir au paysage de décliner ses nuances, ne plus penser à rien et soudain saisir l'idée qui passe, la jeter sur le carnet de notes. Usage de la fenêtre : inviter la beauté à entrer et laisser l'inspiration sortir."


"La mésange revient. Dans mon guide ornithologique je cherche sa fiche technique. (…) La visite du petit animal m'enchante. Elle illumine l'après-midi. En quelques jours, j'ai réussi à me contenter d'un spectacle pareil. Prodigieux comme on se déshabitue vite du barnum de la vie urbaine. Quand je pense à ce qu'il me fallait déployer d'activité, de rencontres, de lectures et de visites pour venir à bout d'une journée parisienne. Et voilà que je reste gâteux devant l'oiseau. La vie de cabane est peut-être une régression. Mais s'il y avait progrès dans cette régression ?"

Et, tandis que l'écrivain sort en expédition pour visiter un lointain voisin :

"A la troisième heure, je risque un coup d'oeil face au vent, vers les montagnes de l'ouest. Les arbres montent la garde jusqu'à ce que la montagne ne veuille plus d'eux à l'altitude de 900 mètres. Dans les draperies de versants sinuent des canyons. Dans quatre mois, ils recevront l'eau de la fonte, la déverseront dans la vasque. Dès que j'arrive à leur hauteur, le vent redouble, par effet d'entonnoir. Dire que des écrivains essaient de brosser la beauté de lieux pareils.
J'ai avalé presque tout Jack London, Grey Owl, Aldo Leopold, Fenimore Cooper et une quantité de récits de l'école du Nature Writing américain. Je n'ai jamais ressenti à la lecture d'une seule de ces pages le dixième de l'émotion que j'éprouve devant ces rivages. Je continuerai pourtant à lire, à écrire."

Sympathique manière de créer la frustration chez le lecteur !…

J'ai beau, dans les faits, être casanier, j'ai soif d'expériences.


A part ça, j'ai trois dessins aux crayons de couleurs à vous montrer, mais ça attendra un peu car il faut d'abord que je les scanne.

mercredi 5 octobre 2011

mini-rétrospective : la papeterie

Et maintenant, un boulot qui date du tout début de l'année, soit octobre 2010.

C'était en didactique visuelle, et notre prof nous a emmenés dans une fabrique de papier. Un employé nous a fait une visite guidée des lieux, puis nous avons pu circuler librement pour dessiner toute la journée dans la fabrique. Le lendemain, on a repris ces dessins pour les inclure dans un reportage, un travail à propos de cette papeterie. Voici les croquis tels quels que j'y avais fait :








mini-rétrospective : CACA

Vers la fin de la première moitié de l'année dernière (le dessin avec le dinosaure date de la même période), soit la fin du début de l'année en quelque-sorte, notre prof d'illus nous a donné, comme sujet, le CACA.
Il nous a demandé de faire trois double-pages. Une traitant du caca pour les enfants, une autre du caca pour les adultes, et une dernière du caca pour les pervers !

Je me suis bien amusé avec ce sujet, je ne vous montre que deux doubles-pages sur trois car j'aime moins la troisième. Je me rappelle avoir finalisé ces planches dans l'urgence, ce qui donne au dessin un côté crado ou en tout cas très précipité et peu soigneux, j'ai tellement fait ça dans l'urgence, d'ailleurs, que j'avais peur de m'en prendre plein la figure, mais en fait mes camarades ont trouvé mon travail très rigolo et j'ai donc été assez content des réactions. Bien que je dessine très mal le caca.

Dans les deux premières pages, ci-dessous, (supposée parler du caca pour les enfants, même si je ne pense pas que l'objectif soit spécialement atteint) le caca ressemble à du choco-pépite plus qu'à autre chose, c'est dommage.

Par ailleurs, je suis désolé, car j'ai dû prendre ces pages en photo au lieu de les scanner, alors qu'elles auraient eu un rendu nettement meilleur en scan. Par exemple, les bords des pages sont un peu flous…
J'espère aussi que le texte est suffisamment lisible…





Ci-dessous, des réflexions plus adultes à propos du caca, où ce dernier est toujours aussi mal dessiné. Le caca de la dernière case ressemble ainsi à un gros cigare.

Enjoy !


mini-rétrospective : DIVERS

Revenons-en à l'illustration, avec trois boulots différents.

Le premier est issu d'un cours plutôt expérimental : une fois, on essaie de trouver des dessins à partir de traces de peinture jetées au hasard, une autre fois on tâtonne avec des crayons de couleurs en cherchant les différents effets qu'on peut obtenir… et une autre fois, on fait du découpage. Contrainte : seulement trois couleurs différentes, soit trois feuilles à découper.
Sujet ? On les détermine par des cadavres exquis, histoire de ne pas chercher une idée pendant des heures. Je me retrouve à devoir représenter une esthéticienne éteignant un incendie dans une bibliothèque !… Voilà le résultat :

Ci-dessous, un dessin d'un autre cours d'illustration (le même que celui qui nous a fait produire des grimaces). Ça date du milieu de l'année, il s'agissait de faire tout un story-board d'une histoire, plus trois doubles-pages finalisées, issues du story-board. Le sujet, c'était : "une île, un dauphin, un oiseau multicolore, un prince, une princesse".
Je me suis plutôt amusé avec ce sujet, je ne vous montre qu'une seule double-page parce que les autres sont moins bonnes, et je ne vous montre pas le story-board car ça ne m'intéresse pas de vous le montrer. La double-page ci-dessous présente l'histoire à son acmé, lorsqu'un savant fou habitant sur l'île lâche son dinosaure sur le prince et la princesse pour les poursuivre. J'ai bien aimé faire un dinosaure. Je n'aurais pas pu le dessiner en l'inventant complètement : je me suis aidé d'une figurine de mon enfance pour le faire !… On remarquera aussi une tâche blanche sur le nez du prince chevelu : c'est du tipex… il s'avère que l'aquarelle ne passe pas sur le tipex !…


Ici, un sujet difficile à expliquer… Toujours est-il que je vous en présente le croquis de recherche. Pourquoi le croquis de recherche et pas le dessin abouti ? Parce que le dessin abouti est pourri !… J'ai changé de technique, le dessin finalisé est au crayon de couleur, c'est donc un traitement radicalement différent, qui rendait nettement moins bien, et que j'ai exécuté dans un moment de fatigue… Bref. Ci-dessous, ce n'est pas le seul dessin de la série, mais c'est celui que je préfère. C'est une grenouille transformée en prince laid.

mini-rétrospective : Neudorf


En fait, nous n'en avions pas fini avec la didactique visuelle : en effet, j'oubliais deux boulots,un que je publierai plus tard et qui date du tout début de l'année dernière, et celui ci-dessous.
Il s'agissait de faire un documentaire, un reportage, autour d'un lieu. Ça pouvait être fait sous forme de vidéo, de bande-son, de livre… Comme lieu, j'ai choisi la médiathèque de Neudorf, comme forme, un livret, puisque le contenu relève du dessin et du texte. J'ai passé plusieurs jours dans cette médiathèque, à dessiner et à parler avec les bibliothécaires, à observer, ce qui m'a permis de faire un reportage dessiné et écrit. Pourquoi avoir choisi une médiathèque de quartier ? J'adore les médiathèques. Si j'avais dû m'orienter vers un métier "conventionnel" (un illustrateur ou un auteur de B.D travaille pour lui-même, en free-lance, sans être employé par une entreprise ou par l'Etat !…), j'aurais aimé être bibliothécaire. En fait, quelque-soit l'orientation que je me décide, je me ramène vers cet univers : dans mon ambition, soit je m'occupe des livres des médiathèques, soit c'est moi qui les fait !…
A Strasbourg, je suis très heureux, car il y a beaucoup de médiathèques, et je peux trouver un peu tous les documents que je veux.

Voici les dessins que j'ai faits durant mon reportage à Neudorf :

















dimanche 2 octobre 2011

mini-rétrospective : grimaces

Bon, maintenant que j'ai présenté des boulots faits en didactique visuelle, je vais présenter des choses faites en illustration.

Aujourd'hui, il s'agira des grimaces : l'un de nos profs d'illustration nous a commandés un dizaine de grimaces dessinées, dont voici quelques résultats. En fait, j'ai accompli ma série en une soirée, en dessinant d'après le miroir. J'ai fait des formats A4, avec du feutre et de l'aquarelle, tout comme des choses beaucoup plus grandes avec de gros pinceaux. Je me suis beaucoup amusé.












A très bientôt pour la suite de cette mini-rétrospéctive,

florian

jeudi 29 septembre 2011

mini-rétrospective : épisode deux

Rebonjour,

on va continuer tout de suite avec un autre boulot de didactique visuelle, et après je passerais à d'autres choses (illustration, peut-être com graph…).

Le sujet était : "le geste à la parole".

Voici une description du sujet :

"À partir d’un extrait de discours, d’interview, de débat, chaque étudiant a analysé la gestuelle de personnalités politiques associée à leurs propos, en repérant les gestes clefs, en quoi tout le corps, des doigts à l’œil, contribue à appuyer à illustrer un mot, une phrase… puis il a imaginé un dispositif qui restitue ses observations, en révèle les traits saillants."

Pour ma part, j'ai décidé de travailler sur cette vidéo d'une conférence de presse avec Barack Obama et Nicolas Sarkozy, dans laquelle une journaliste américaine pose une question qui ennuie beaucoup Nicolas Sarkozy : il est clairement énervé, mais fait semblant, dans son discours, d'être tout à fait ravi qu'on lui ai posé cette question qui lui permet de s'expliquer… Mon dispositif met en valeur l'attitude de Nicolas Sarkozy, en la restituant dans toute sa clarté…





Mini-Rétrospéctive de ma deuxième année : première partie

Bonjour !

Pour fêter ma rentrée en troisième année, je me suis dit que ça pourrait être sympa de faire une mini-rétrospéctive de mes boulots de l'année dernière. Au fil de la semaine, je vais donc prendre les boulots qui me tombent sous la main et dont je suis à peu près satisfait.

Pour commencer, un boulot fait en didactique visuelle, dont voici le sujet :

"Chaque étudiant a, dans le cadre du cours Tactiques didactiques, composé une forme d’imagier qui décrit dix « choses » qu’il sait du monde pour un « étranger », adulte ou enfant. Chaque livre réalisé est un miroir, un objet d’entrée, de médiation, d’identification, associant mots et images."


Pour ma part, j'ai fait un imagier sur mon environnement personnel, parce qu'alors c'était ce que j'avais compris du sujet (qui n'était pas formulé comme plus haut). J'ai donc fait un imagier sur les objets qui m'entourent directement. Au bout d'une certaine réflexion, j'ai fini par trouver la bonne manière d'aborder cet imagier : j'allais prendre les objets qui pouvaient symboliser le déroulement de ma journée type (le réveil pour le réveil, le bol pour le petit-déjeuner… et ainsi de suite jusqu'au coucher) en les considérant comme mes "copains".

Le résultat, ci-dessous.

mardi 27 septembre 2011

Note une

Hier soir, je suis rentré chez moi, à Strasbourg.

C'est drôle. Il y a deux ans, je m'installais. Sur mon blog précédent, j'avais posté une note dont l'illustration était une photographie de ma chambre pleine de cartons.

J'étais quelque-part, je savais que c'était chez moi, mais je n'y étais pas encore. Il fallait que je m'habitue !…

Mais aujourd'hui, je suis rentré chez moi, je suis content d'être chez moi, car, oui, je me sens chez moi à Strasbourg, et plus précisément dans cet appartement. Après plusieurs mois d'absence, j'ai repris mes petites habitudes… Ce matin, je suis allé à la boulangerie d'en face m'acheter un croissant, puis j'ai petit-déjeuné en écoutant France Inter… Je n'avais plus écouté France Inter de tout l'été !… Mais, là, je reprends mes petites habitudes. Je vais à la boulangerie, j'écoute France Inter… Et je me sens chez moi.

Ci-joint, des dessins faits cet été (je n'ai pas de scanner A3 sous la main, j'ai dû prendre mes dessins en photo… je suis donc désolé puisque ç'aurait été mieux scanné. Le premier croquis est évidemment inventé, les trois autres sont des dessins d'observation). Malheureusement, j'ai très peu dessiné ces derniers mois, et j'ai un peu peur de la rentrée, étant donné comme je me suis peu délié les mains. J'essaie de ne pas trop y penser, et suis tout à mon plaisir d'être revenu dans l'Est.







(à gauche, un concert durant les Heures d'été à Nantes, près des remparts du château)


(une fanfare, appelée "les plaies mobiles", qui jouaient à côté du jardin du luxembourg… Deux jours avant, je lisais la bande dessinée "Fanfare" de Aude Picault… Les plaies mobiles y étaient mentionnées !… Coïncidence amusante.)




A bientôt,

Florian